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15/05/2008

Y a une fille...

Les jours ne se succèdent plus. Ils se chevauchent, ils dansent et m'entraînent dans leur torbillon.

Je change sans cesse de rôle et ça devient fatigant. Tantôt prof, tantôt inspecteur, tantôt étudiant attardé. 

Trop peu de temps pour moi, pour mes lectures et mes musiques, pour vous.

J'ai même oublié de vous dire qu'il y a une fille, la première de mes amies virtuelles qui s'est aventurée à me rendre visite.

Ses origines, les témoignages des collègues, des voisins sur ce pays l'ont amenée ici.

Pendant quatre jours elle s'est délectée aux saveurs des plats préparés par ma mère.

Elle a respiré l'odeur du printemps roumain et a goûté à l'eau des sources au creux de la main.

En partant, elle aurait aimé emporter un parterre de tulipes, une vieille maison paysanne et la chaleur des gens.

Il paraît que l'Est, la Roumanie laissent des traces indélébiles.

Sur le seuil de la porte, elle m'a prise dans ses bras pour me dire :

" Tu es un ange ! "

Mais ce n'est plus un secret pour personne !

                     : )

 

09/02/2008

La Doïna des Roumains

Après s'être enlacés dans cette danse folle de l'amour, on se repose , bercés par le violon de Efta Botorca et la flûte de Pan de G. Zamfir qui jouent  une doïna .

Chaque peuple a ses particularités - histoire, mœurs, us et coutumes, costume national- qui le distinguent des autres peuples. Un de ces symboles, pour les Roumains , est indéniablement la doïna,  douce chanson lyrique , exprimant un sentiment de nostalgie, de mal d'âme, de compassion, de pitié, d'amour, mais aussi de révolte.


C'est une complainte.

L'expression du sentiment dans toutes ses formes, mais toujours avec une note de désir et d'attente.

EFTA BOTORCA

 

 GHEORGHE ZAMFIR