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13/03/2011

quoi encore ?

 

„Je voudrais tout d’abord vous féliciter pour votre blog et vous dire que celui-ci m’a beaucoup plu. C'est parfois futile, parfois touchant, toujours très bien écrit et bien illustré.”

Voilà ce qui m’écrit une certaine Juliette qui voudrait que je mette un lien vers je sais pas quoi... je le ferai pas d’ailleurs. Je n'aime pas les blogs à l'ouverture desquels s'affichent plein de pages de pub. A moins que ce ne soit pour la bonne cause.

Mais je le lui accorde, ce dernier temps je bascule dans le n’importe quoi, j’ai pris le party du futile avec toutes ces fêtes et le retour du printemps qui me chavirent le coeur en douce.

Alors, Juliette, désolée, ma biquette, je te mets encore une chanson anti „coup de pompe”. Exit la morosité, l’esprit négatif grâce à cette voix séduisante, intense, aux vertus euphorisantes comme le meilleur cacao.

Ca va dans tous les sens...et ça m’a fait du bien de me laisser aller à  la rêverie et à cette  promesse „I’ll be there anytime”.

C'est ainsi l'amour. On est libre à chaque moment de partir. Mais on reste.

Pour toi...

Sinon, je porte un nouveau parfum et j'ai attrapé un nouveau virus vestimentaire. Je vous raconterai !

"God knows how I adore life
When the wind turns on the shores lies another day
I cannot ask for more
When the time bell blows my heart
And I have scored a better day
Well nobody made this war of mine
And the moments that I enjoy
A place of love and mystery
I'll be there anytime
Oh mysteries of love
Where war is no more
I'll be there anytime
When the time bell blows my heart
And I have scored a better day
Well nobody made this war of mine
And the moments that I enjoy
A place of love and mystery
I'll be there anytime
Mysteries of love
Where war is no more
I'll be there anytime"
 

31/10/2007

Matrioska

Matrioska naît de l'idée que de nombreuses épaisseurs se superposent dans les choses que nous voyons. On parle de ce principe lorsqu'on observe " une relation de type objet à l'intérieur d'un objet similaire" ( Wikipédia).

Cédric Klapisch se sert de cette metaphore dans son film, " Les Poupées Russes" ,  pour suggérer la quête de Xavier . Sa soif de trouver la " dernière ". Elle.

 

" J'ai repensé à toutes les filles que j'avais connues, avec qui j'avais couché ou même que j'avais seulement désirées. Je me suis dit qu'elles étaient comme des poupées russes. On passe sa vie entière à jouer de ce jeu- là , on est curieux de savoir qui sera la dernière, la toute petite qui était cachée depuis le début dans toutes les autres. On peut pas l'attraper directement, il faut suivre un cheminement.
Il faut les ouvrir, l'une après l'autre, en se demandant à chaque fois : est-ce que c'est elle la dernière ? "

Si seulement...

Beth Gibbons( la voix de Portishead) & Rustin Man- MYSTERIES