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03/10/2009

Jeanne chez moi

La semaine passée, ma boîte aux "trésors" envoyée par Jeanne m'est parvenue. Même pas la patience d'arriver jusqu'à chez moi. Assise à la terrasse d'un café, je les ai pesés, reniflés, caressés, en essayant d'en faire le lien avec tel ou tel de ses billets.

De retour chez moi, le coeur sautillant, vif, comme une giboulée de grêle,  j'ai essayé de leur trouver une place, histoire de pouvoir m'en réjouir encore et encore et de ne pas oublier que, quoi qu'il arrive, H&F m'aura permis de rencontrer des gens dont l'amitié gracieuse, invisible est prodigue en saveurs, en "vertus purificatrices".

Je t'embrasse fort, ma Jeanne , et je t'offre ces photos prises avec mon vieux  portable car j'oublie toujours d'acheter des piles : (

le grigri que va trimbaler l'un de mes sacs :

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 les chocolats dont mes amis vont se régaler aujourd'hui même :

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 une petite touche de bleu qui se marie à merveille avec le canapé et les fauteuils :

 

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 la fameuse coloquinte dotée d'esprit de contradiction !

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et, en bonus, quelques-unes  de mes cloches : )

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J'oubliais, j'en profite pour rassurer Charles, je ne suis pas unijambiste ! (je sais, y a toujours trop de câbles qui traînent chez moi )

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 P.S.- Toujours pour toi, ma Jeanne, un fragment de "notre" livre (chuuut!) :

 

" Elle aimait tellement être contre lui. Elle aurait voulu que ce moment ne s'arrête jamais. Ecouter des vieilles chansons, danser, sentir son corps contre le sien, encore et toujours. Elle était redevenue une femme. Il y avait un espace où danser à nouveau. Lentement, inexorablement, elle rentrait chez elle, dans un endroit où elle n'était jamais allée.

Il faisait chaud. L'humidité montait et on entendait des bruits de tonnerre au loin vers le sud-ouest. Les phalènes se pressaient contre le grillage, fascinés par les bougies, attirés par le feu.

Il ne faisait plus qu'un avec elle maintenant. Et elle avec lui. Elle écarta sa joue de la sienne, et le regarda de ses yeux noirs, il l'embrassa et elle lui rendit son baiser, un long baiser tendre, une longue rivière. "

 

Et Elle :

 

envoyée par kaarekjohnsen

Ajout de dernière minute, à la demande de Charles auquel je ne peux rien refuser, la chaussete orpheline qui coiffe à présent mon doudou :

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