12/11/2014
respire
Mélanie Laurent ou le pari de dire. De démasquer, de vaincre les digues intérieures qui cimentent l'édifice pervers. "IL" sévit souvent dans le milieu scolaire peuplé d'ados fragiles, en quête d'amitié et de repères.
Raconter par la suite la souillure, l'exploitation à mort, l'avilissement, expose au sentiment de se sentir indécent et d'être ce que le pervers a voulu faire de soi : un détritus.
"On est seul face à la violence. Si ça pouvait secouer certains, hommes, femmes, collèges, lycées!"
22:42 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : mélanie laurent; cinéma